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 Desire me, follow me, fuck me..

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Alejandro Perez
Alejandro Perez

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MessageSujet: Desire me, follow me, fuck me..   Desire me, follow me, fuck me.. EmptyMer 9 Mai - 16:05

Je pense que je suis encore suivi. Pas que j’ai l’habitude, mais là, je suis plus ou moins de qui il s’agit. Roxee a une certaine tendance à faire dans la discrétion, mais à force, elle oublie que je la connais et que je n’ai pas peur..de me faire suivre par elle. Je m’aventure dans le noir et attends patiemment. Je me souviens encore du matin où j’ai du parler à ma sœur. « Tu es sur que personne ne se doute de rien ? » Je la regarde, lève les eux au ciel. « J’ai l’air d’être un type qui se fait griller ? Arrête de flipper stp.. C'est pas comme si j'allais gueuler dans la rue que je bosse pour Medina.. » Là elle se serre contre moi. Pas que ce genre d’étreinte m’est étrangère – enfin presque – mais j’ai toujours été très peu démonstratif.. Je finis par lui dire au revoir et m’engage dans les allées. C’est donc à ce moment là que je sens comme une filature. Je me stoppe, me pose contre le mur et attends. Au bout de quelques minutes elle apparait. Je me délecte de chaque courbe, la reluque sans gêne et souris dans le noir. J’attends qu’elle arrive à ma hauteur, je m’approche et la plaque contre le mur, les mains serrées dan son dos et commence à passer mon doigt sur sur celui ci.. « Ravi de te voir. Je dirais presque que tu m’as manqué, si ça ne m’écorchait la bouche. » Je la retourne, toujours contre le mur, souris et place ma bouche tout près de son oreille. « Alors tu me suis, en manque ma belle ? » Oh je sais qu’elle va sans doute me dire que je prends mes rêves pour des réalités, que je ne suis qu’un imbécile et tout ce qu’il s’ensuit.. La vérité étant que ne pas se voir reviendrait à crever, même si l’admettre serait évidemment mortel pour deux fiers comme nous. Ma main vient jouer avec son décolleté et je sens que la nuit sera longue.. Avec elle, ça l'est toujours. parce qu'avant de passer aux choses agréables, elle me traite de tous les noms.. Vous connaissez les jeux du chat ? Quand il attrape un oiseau et le confond avec un jouet pendant des heures, le tuant sans vraiment le vouloir ? C'est un peu nous,toujours limite, toujours à moitié jetés.. On fait pas dans la demi mesure mais je pense sincèrement que personne n'a cette passion dévorante tel un feu consumant chaque fibre de notre peau en eux.. nous oui..
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Shoshanna R. Sveltanova
Shoshanna R. Sveltanova

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MessageSujet: Re: Desire me, follow me, fuck me..   Desire me, follow me, fuck me.. EmptyMer 9 Mai - 16:15

Un long soupir suivit d'un étirement en bon et du forme, Shoshanna reposa ses coudes sur le bureau, regardant l'écran de son ordinateur parfaitement plat. S'il y avait bien quelque chose que la jeune femme détestait était bien de ne rien avoir à faire, et puis ce n'est pas au travail qu'elle allait se mettre à jouer en réseau... En faite elle l'aurait bien fait si elle n'avait quelqu'un regardant toutes les deux minutes ce qu'elle faisait ou lui demandant s'il y avait du nouveau... Mais il n'y avait RIEN alors pourquoi on continuait de lui poser la question! Rien de chez rien... Un nouveau soupir avant de se passer sa main sur sa nuque, se la massant quelque peu et puis la libération ! Enfin elle pouvait rentrer chez elle et profiter, non pas de son lit, mais bien son ordinateur ! Déjà le retour à l'extérieur fut vraiment agréable et salutaire pour sa santé mentale déjà plus qu’approximative, mais elle ne se doutait nullement du tournant qu'allait prendre sa soirée... En effet, alors quelle rentrait chez elle, elle aperçu une scène, somme toute comme une autre qu'elle aurait pu voir n'importe où, mais le plus intéressant était plutôt de qui il s'agissait... Bien qu'elle détestait se l'entendre reconnaître, elle aurait pu reconnaître cette silhouette enfin en sincérité c'était plutôt des fesses de celui-ci qu'elle pourrait reconnaître même les yeux bandés ! Venant de Sho' c’était parfaitement normal, bien que la normalité soit une notion bien plus que subjective. Une scène normale, une simple étreinte, bon d'accord de là où elle était elle n'aurait su dire qui était l'interlocutrice, amis c'était bien une elle !

Oui ça l’emmerdait... Enfin quelque part au fin fond de son inconscient ! Bon elle changeait de plan, elle se mit à suivre Aleandro. Quoi ? Ça pouvait être amusant... Plus amusant que la soirée qu'elle avait prévu ? Ah c'était à voir tout de même. Il s'infiltra dans les allées sombres et bientôt elle se retrouva plaquer contre le mur qui lui coupa légèrement le souffle mais vint faire s'installer un sourire sur son visage. « Ravi de te voir. Je dirais presque que tu m’as manqué, si ça ne m’écorchait la bouche. » C'est fou comme elle s'en serait pas doutée dis donc ! En même temps le contraire l'aurait sûrement fait fuir et très vite ! « Alors tu me suis, en manque ma belle ? » étant à présent face à lui, elle avait fait disparaître son si joli sourire, laissant place à un magnifique masque d'impassibilité, où serait le jeu sinon ?

    __. T'es vraiment adorable quand tu es naïf ! Dit elle en passant une de ses mains sur le visage de Alejandro avant de sourire et de lui donner une légère claque. Mais non ce n'est qu'une simple coïncidence, j'ai quelqu'un à voir dans le quartier, tu sais tu n'es pas la seule personne avec laquelle je parle... C'était étrange venant de Shosshanna, elle parlait avec des gens ? Oui ça lui arrivait. Les affaires sont les affaires, alors si tu veux bien m'excuser, je ne voudrais pas être en retard... toujours dans la provocation avec lui c’était plus fort qu'elle.
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Alejandro Perez
Alejandro Perez

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MessageSujet: Re: Desire me, follow me, fuck me..   Desire me, follow me, fuck me.. EmptyMer 9 Mai - 16:40

Roxy et moi un truc qui n’aurait jamais du arriver, qui ne devrait arriver et qui n’avait aucun sens. C’était justement l’intérêt premier. Ne pas être comme les autres. Etre différent. Elle me traita de naïf, je souris. Non je ne l’étais pas, pas plus qu’elle ne le serait un jour. Je le savais, que je lui avais manqué, mais de là à espérer qu’elle l’avoue. C’était plus pour la chercher, l’emmerder. Parce qu’énervée, elle était bien plus sexy. Elle me mit ensuite une claque. Je ne relevais pas, tant qu’elle ne m’en foutait pas une carrément dans le but de me blesser, je m’en moquais. C’était un jeu, juste un jeu, dangereux mais du domaine du ludique tout de même. Banales excuse, elle annonça qu’elle avait quelqu’un à voir. Foutaises, je n’y croyais pas une seconde. « Mais bien sur, et moi je suis facteur. » dis je tout sourire. Ce n’était pas un sourire sincère, il était rare que je fasse ce genre de choses. Chez moi sourire était loin d’être naturel et habituel. En fait, quand je souriais, on se demandait ce qui allait se passer, comme si ça risquait de déclencher un truc..

Et voilà qu’elle me sortait qu’elle était en mission et qu’elle partait. La laisser filer ? Plutôt crever ! Il n’était pas question que je lui laisse une chance à cette perle de prendre la tangente. Je mis ma main sur sa poitrine, descendis mon doigt dans son décolleté, puis appuyais fortement pour la plaquer au mur, puis collait mon torse encore plus près. « T’iras nulle part, je n’ai pas beaucoup de temps, et si on nous voit, mon boss risque de ne pas aimer qui je fréquente.. Je n’ai pas envie d’être un fugitif et tu le sais. Et puis j’ai deux trois arguments.. » Je l’emmenais plus loin, un escalier nous faisait face, je la poussais un peu, quitte à la plaquer conte le bord de la marche.. Mes yeux ne savaient ou regarder, mes mains où toucher et surtout, ma langue où lécher. Il faisait nuit, personne ne nous verrait dans cette cage d’escaler abandonnée, mais en un sens, j’aurais presque espéré qu’on nous voit, ça aurait rendu la partie plus intéressante. « Tu veux y aller ? Vas-y.. » Dis je en m’approchant et prenant ses lèves comme on prend la bastille.. Je tenais sa taille, presque sur elle, et je n’avais aucune intention de laisser échapper ma proie... Toujours cette illusion de liberté. On y croit, on la veut, pais on est à des années lumières. Parce qu’on beau crier sur les toits que personne ne prendra notre cœur, ça fait un moment qu’on l’a égaré, et on le nie, mais on a aucune envie de le récupérer..
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