ANDREA ℘ Si je ne disais rien, les gens supposaient toujours le pire... Heureusement je parle beaucoup.

**$ ton age** : 31 **$ messages** : 95 **$ en Colombie depuis** : 08/05/2012

Je m'appelle Andrea Ruth mais honnêtement vous pouvez seulement dire Andrea je ne vous en tiendrais pas rigueur, au contraire. D'ailleurs si ça vous chante vous pouvez aussi m'appeler Andy, et les jours ou vous êtes particulièrement fatigué et que le monosyllabe devient une nécessité, An' fera l'affaire. Sinon pour le nom de famille, je ne sais pas bien si je vous le dis. Vous le connaissez tous. Vous l'aimez pas forcément. Alors peut être que je ferais mieux de me taire... Parce que je ne suis pas vraiment comme eux. Parce qu'il ne voudrait même pas de moi que je sois comme eux. Je leur fais plus peur qu'autre chose à vrai dire... Puisqu'il le faut, j'appartiens à la famille Medina la célèbre. La même que celle du Cartel. Vous voyez tout de suite vous n'avez pas bien envie de m'approcher..., J'ai 26 ans bien tassé. Je sais pas bien si je l'ai fait ou pas. Je m'en fiche pas mal, il paraît que je ne grandis pas... , Bon sinon dans la vie de tous les jours je suis sculptrice, peintre et conseillère financière comment ça il n'y a aucun rapport les uns avec les autres ? Fallait bien que je gagne ma vie... C'est pas papa et maman qui allait cautionné mes sculpture et peinture... Et puis je suis douée dans le conseil... Dans la partie financière peut être un peu moins, mais j'ai des connaissances qui sont des cracs pour moi dans le domaine alors... . Honnêtement je ne pouvait pas être né dans un tel monde et être aussi blanche qu'une colombe. Alors bien sûr la poudre blanche très peu pour moi, le travail de terrain même pas en rêve, je suis désespérément nulle de toute manière... Mais quand l'envie me prend, et qu'on me demande je fais de très bonne contrefaçon d'oeuvre d'art... et si on ne sait pas que c'est moi, je ne risque rien non ? Tel est le deal. Je suis désespérément gentille, maladroite, tordue, à coté de mes pompes, artiste... Je suis une catastrophe ambulante, un danger public avec une arme, mais oui j'en ai une dans mon tiroir à sous-vêtement, je ne sais pas me battre non plus, mais j'ai une voix suraiguë et insupportable qui porte très loin, une vraie sirène de pompier. Je n'ai pas vraiment de conscience, j'ai une mémoire de poisson rouge, ne mesure pas le danger, m'attache trop vite et suis une handicapé sentimental sévère. Honnêtement parfois on à l'impression de trainé un boulet de joie, de blague, de connerie, d'attention aussi charmante que flippante. Je suis en vrai bien plus intelligente que je ne le laisse penser. Mais au moins on me laisse souvent tranquille, ma famille en particulier, et ce n'est pas du luxe. J'ai l'air sincère mais ai un amour sincère pour le mensonge. Ah dernière chose on dit que je suis une bombe à retardement. J'aime particulière marcher pied nu, la pluie, la peinture, et modelé un corps avec mes mains. J'ai une passion dévorante pour Peter Pan. Mais je commence à me désespérer de grandir. J'ai un problème avec la réalité, avec mon équilibre, avec ma famille. Je fais partis du groupe Los Colombianosmême si je suis sensé être la digne héritière du cartel Medina. Je ferais plus tout capoté qu'autre chose...

derrière l'écran

Pseudo Twisted SunshinePrénom MargauxÂge 19 YOSexe Guess Pays FranceComment es-tu tombé(e) ici ? J'ai vu Avengers et pouf ! Emma m'a jeté sur le forum... ANDREA ℘ Si je ne disais rien, les gens supposaient toujours le pire... Heureusement je parle beaucoup. 2235043811

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Et t'en penses quoi ? Top top cool. ANDREA ℘ Si je ne disais rien, les gens supposaient toujours le pire... Heureusement je parle beaucoup. 3434240975

Présence Dès que je peuxAvatar Leighton Meester

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everyone has a story to tell

chapitre ONE

« le désastre d'un ange »

Ah la naissance de la petite dernière. Toujours un évènement. On sait pas avec certitude que personne ne viendra derrière, mais on le sent, comme une petite certitude. Parce que la mère en a marre de voir son ventre s'arrondir, et qu'elle n'est pas une poule pondeuse. Parce que la famille ressemble déjà à quelque chose de beau, de grand, et qu'après il va falloir louer un bus... Et honnêtement la tête du cartel en bus... Alors on ne sait rien, mais on s'en doute. Et lorsqu'on voit la bouille blonde sortir, on se dit qu'elle est un ange, qu'elle ira à la perfection dans la place réservée pour elle dans cette famille peu ordinaire. Elle devra avoir la folie des grandeurs, le sang froid, le sens de la manipulation inné, et la conscience défaillante. Elle sera une colombienne pure souche, ou elle ne sera pas. Les choses ne se passent pas toujours comme prévu. D'ailleurs avec Andrea rien ne se passa comme prévu. Ils ne prévoyaient pas qu'elle attendrait le jour de ses trois ans pour enfin se décider à marcher, alors qu'elle parlait depuis sa première année. Ils n'imaginaient pas qu'à cinq ans elle tirerait une balle dans le pied de son grand père en faisant tomber une arme à feu. Ni même qu'elle enverrait son frère à l'hôpital à six ans en tombant dans l'escalier et en lui tombant dessus. On ne l'imaginait pas comme une bombe vivante, dans tous les sens du terme d'ailleurs. On ne comprenait pas pourquoi elle souriait constamment. Cela n'avait rien de drôle. Pour l'une des plus grandes famille des Cartels Colombien c'était honteux de devoir planquer toutes leurs armes à feu sous peine qu'Andrea ne fasse un massacre. Il était ridicule de garder les sécurités enfants jusqu'au douze ans de la jeune femme. Toute cette histoire était à ce taper la tête contre les murs. La seule chose de positif avec cette fille... C'était qu'elle avait toujours été ravissante, et qu'elle était tellement adorable qu'elle attirait les gens comme des mouches, et que certain en oubliait parfois même qu'elle était la fille à ne pas approcher. La seule fille de la famille Medina.

chapitre TWO

« la malchance sans fin »

Avec les années même le maigre point positif de sa vie s'était effacé. Elle faisait rire, elle faisait peur. Elle était un désastre ambulant, celle qui pouvait vous descendre sans même le faire exprès. On a même un instant pensé que ses parents l'obligeaient à être maladroite pour être une tueuse d'élite pour le Cartel de manière particulièrement discrète. Il fallait dire qu'elle trainait toujours dans des affaires louches. Elle y était pourtant bien pour rien, mais c'était toujours plus fort qu'elle. Elle idolâtrait ses frères, les suivait partout et généralement faisait capoter leurs histoires. Un soir elle avait suivit Anton, son grand frère qui était apparemment partit s'occuper des affaires de drogue pour le compte de leur parent. N'ayant peur de rien elle s'était approché près, et aller savoir comment, alors que l'opération devait se passer en toute discrétion, elle avait buté contre une vieille poubelle en fer sur laquelle dormait un chat. La poubelle tomba dans un vacarme monstrueux, le chat vola en hurlant, Anton et les clients se retournèrent vivement et tirèrent un coup de feu pensant que quelqu'un les suivait. Heureusement pour une fois la jeune femme avait eu l'intelligence de faire la morte par terre, sans quoi elle aurait probablement ressemblé à une passoire. Il n'empêche que quelques minutes plus tard la police débarquait, et embarquait tout le monde. C'était ce moment là qu'Andrea avait choisit pour se réveiller, voyant Anton se faire emmener elle n'avait rien trouver de mieux que de ramasser l'une des douilles de revolver par terre, encore brulante, de hurler parce qu'elle s'était brulée, de la balancer à la tête d'un flic. Le flic qui se retourna et pointa son arme sur la blondinette faisant ainsi sortir Anton de ses gonds. Il avait fallu moins de deux minutes et de trois gestes d'Andrea pour qu'une bagarre se déclenche. Une bagarre qui ferait trois morts. Une bagarre qui couta une blinde au Medina. Une bavure dont elle entendrait parler toute sa vie.

chapitre THREE

« je suis plus utile quand je fais rien... Mais ça m'ennuie... »

Dans un grand conseil familial il avait été décidé qu'Andrea ne s'approcherait plus du terrain, ne suivrait plus ses frères et se contenterait d'étudier, de lire, et d'apprendre à escroquer les gens, puisqu'elle aimait tant parler. Car encore à cette époque, la famille n'imaginait pas pouvoir laisser leur fille entièrement en dehors de leur histoire familiale. Après tout c'était un héritage. Et la véritable famille se trouvait là, au coeur du Cartel. C'était encore une chose qu'Andrea ne comprenait pas. Ou ne voulait pas comprendre. Elle était particulièrement douée pour jouer les nunuches, et n'attendaient qu'une seule chose, qu'on lui enlève ces responsabilités d'être une Medina, et qu'elle puisse avoir une vie normal. De toute façon elle avait bien compris le truc, elle était absolument inutile à leur business, et à vrai dire à chaque fois qu'elle s'interposait elle faisait un fiasco, et à force de se regarder dans le miroir qu'était sa famille, elle avait de plus en plus honte d'elle même. Alors elle faisait comme sa famille le voulait. Elle ne faisait plus rien. Mais à ne plus trainer dans les rues le soir, à ne plus sortir en cachette pour suivre ses frères, à ne plus prendre de risque inconsidéré pour x ou y raison - de toute façon elle ne considérait jamais rien - elle finissait pas s'ennuyer sérieusement dans sa chambre lorsqu'elle était victime de ses insomnies. Une nuit elle avait commencé à vider la terre de l'arbre en pot qui était dans le coin de sa chambre et en ajoutant de l'eau avait commencé à modeler la chose. C'était sale, peu pratique et ça s'effritait facilement, mais la sensation de la terre humide sous ses doigts qui faisait presque tout ce qu'elle voulait était jouissive. Et elle avait passé à faire des figurines avant de les laisser sécher, s'effriter et retomber en poussière. Rapidement la sculpture était devenu une seconde nature. La famille n'aimait pas ça. C'était inutile, et plus elle s'enfonçait dans cette voix plus elle s'éloignait d'une possible carrière illégale, enfin c'est ce qu'il croyait. Mais en Colombie on ne renie pas ses enfants. On ne les jette pas à la rue parce qu'ils n'ont pas le même désir que vous, parce qu'il ne sont pas formé correctement pour la voix à suivre. Et puis au moins pour une fois, elle faisait quelque chose ou elle ne risquait rien. Enfin là encore tout restait à déterminer. Pendant une longue période de sa vie elle ne faisait plus rien si ce n'est aller à l'université dans le domaine de l'art, et sculpter et peindre chez elle. Pas de soirée ou elle risquait de partir en vrille avec l'alcool, pas de drogue, elle se tenait à carreau. Il lui arrivait de recevoir des amis artistes comme elle, mais c'était toujours dans le studio que ses parents lui payait qui était l'endroit le plus sûr de la planète. C'est là qu'elle rencontra Mattheo. Mattheo la suivait depuis quelque temps, et comme Andrea n'était pas du genre à s'inquiéter outre mesure, elle avait été flattée de se faire suivre par un aussi beau jeune homme. Bien loin d'imaginer ce qui pouvait en découler, elle lui avait même laissé quelques messages subliminal à l'aide de sculpture et de peintre que le jeune homme prenait toujours soin de déchiffrer. Elle ne mit pas bien longtemps à le mettre au pied du mur, et à lui dire qu'il était bien mignon, mais que le coté dangereux psychopathe version admirateur pas si secret s'était déplacé, et qu'à moins qu'il veuille sortir avec elle, elle n'était pas le genre de fille qu'on voulait emmerder. Et il y avait eu subitement tant d'honnêteté, d'innocence et d'inconscience dans les paroles d'Andrea que Mattheo n'avait pas su réagir autrement qu'en l'embrassant. Andrea était souvent abonné aux relations désastreuses et souvent s'en lendemain. Elle s'attachait et faisait généralement flipper le mec en question. Mais Mattheo c'était une toute autre histoire. Ils avaient cette sorte de connexion, d'alchimie qui faisait que mentalement tout collait entre eux. Bien sûr en l'entendant parler, elle avait bien sentie que ses valeurs étaient bien trop encré et radical pour qu'il soit un ange. Surtout en Colombie. Lorsqu'il lui avait dit yeux dans les yeux qu'il était un farc, elle n'avait pas ciller, elle l'avait embrassé. Tant qu'il ne s'en prenait pas à elle et à ces proches, elle se fichait bien de ce qu'il était, de ce qu'il faisait, de quel monstre les autres pouvaient imaginé qu'il était. Elle le connaissait mieux que quiconque, et de toute façon à Bogota, tout le monde est suffisamment pourrit jusqu'à la moelle pour qu'il soit idiot de s'en soucier.

chapitre FOUR

« l'enfance ne connait pas de limite»

Mattheo et Andrea avait finit par rompre, d'un commun accord. Ils s'entendaient trop bien, ils s'aimaient trop pour s'entredéchiré pour des histoires d'infidélité. A la vérité tout allait trop bien entre eux pour que la relation se régénère avec suffisamment de passion pour leur donner envie de continuer. Ils s'encroutaient, s'ennuyaient et finissaient toujours par aller voir ailleurs. Alors ils avaient arrêter le massacre avant de s'en vouloir. Ils avaient décidés d'être de bon ami, faute d'un jour finir marié. De toute façon soyons honnête un tel mariage aurait finit dans un bain de sang. Andrea avait donc grandit, vieillit au coté de son meilleur ami, enchainant des relations plus catastrophique les unes que les autres. Elle ne parlait plus à ses parents depuis que ces derniers avaient essayé de la marier. Elle se débrouillait bien toute seule, gagnait sa vie de son art et de ses conseils fumeux en matière de finance. Elle était plutôt doué en bourse, elle leur conseillait de ne miser sur rien, mise à part sur la drogue c'est la seule chose de stable à Bogota. Elle se fichait bien des conventions. De toute façon elle n'était pas conventionnel. Elle vivait toujours dans le même studio que celui de son passé d'étudiante. Elle ne grandissait pas. Vieillissait mais ne grandissait pas. Comme si le temps s'était arrêté dans sa tête et qu'elle avait gardé le même sourire, la même insouciance, la même innocence de celle de ces vingt ans. Ah la vérité, elle faisait semblant. Mais ça l'enfance à ces pieds elle s'ennuyait, et l'ennuie amenait vite son meilleur ami la bêtise, et en un rien de temps Andrea faisait quelque chose qui coûtait un orteil à l'un, un paquet de fric à l'autre. Et les orteils et le fric sont des choses suffisamment précieuse à Bogota pour qu'on évite de s'exposer à de sévère représailles en les supprimant à certain. Enfin surtout le fric en faite...

**$ messages** : 55 **$ en Colombie depuis** : 03/05/2012

GENRE à te lire je suis horrible xD

Jte pardonne parce que BIENVENUE honey ANDREA ℘ Si je ne disais rien, les gens supposaient toujours le pire... Heureusement je parle beaucoup. 2231002580

ANDREA ℘ Si je ne disais rien, les gens supposaient toujours le pire... Heureusement je parle beaucoup. 2231002580

**$ ton age** : 31 **$ messages** : 95 **$ en Colombie depuis** : 08/05/2012

Si si tu es horrible. ANDREA ℘ Si je ne disais rien, les gens supposaient toujours le pire... Heureusement je parle beaucoup. 2235043811

Mais ça compte pas si tu es mon monstre à moi non ? ANDREA ℘ Si je ne disais rien, les gens supposaient toujours le pire... Heureusement je parle beaucoup. 1231878489

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**ADMINISTRATRICE** nobody's gonna slow me down

Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche (et avec Austin ANDREA ℘ Si je ne disais rien, les gens supposaient toujours le pire... Heureusement je parle beaucoup. 10997335

ANDREA ℘ Si je ne disais rien, les gens supposaient toujours le pire... Heureusement je parle beaucoup. 10997335

)

**$ ton age** : 31 **$ messages** : 95 **$ en Colombie depuis** : 08/05/2012

Merci.
Aaaah c'est toi qui a pris le prénom Lennon avant moi... ANDREA ℘ Si je ne disais rien, les gens supposaient toujours le pire... Heureusement je parle beaucoup. 3476459425

ANDREA ℘ Si je ne disais rien, les gens supposaient toujours le pire... Heureusement je parle beaucoup. 3476459425

Bon choix au passage. ANDREA ℘ Si je ne disais rien, les gens supposaient toujours le pire... Heureusement je parle beaucoup. 1231878489

Ouai il paraît qu'il faut du courage... ANDREA ℘ Si je ne disais rien, les gens supposaient toujours le pire... Heureusement je parle beaucoup. 2235043811

**$ messages** : 112 **$ en Colombie depuis** : 05/05/2012

Ryan Horswood a écrit:: Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche (et avec Austin )

Andrea Medina a écrit:: Merci.
Aaaah c'est toi qui a pris le prénom Lennon avant moi... Bon choix au passage.

Ouai il paraît qu'il faut du courage...

Il m'a dit qu'il vous emmerde ANDREA ℘ Si je ne disais rien, les gens supposaient toujours le pire... Heureusement je parle beaucoup. 1370858031

**$ ton age** : 31 **$ messages** : 95 **$ en Colombie depuis** : 08/05/2012

Dis lui que je l'aime bien quand même. ANDREA ℘ Si je ne disais rien, les gens supposaient toujours le pire... Heureusement je parle beaucoup. 2235043811

« **Freaky bitch** Psychotic ϟ *Queen* of ice »

Bienvenue mon rossignol ANDREA ℘ Si je ne disais rien, les gens supposaient toujours le pire... Heureusement je parle beaucoup. 1231878489

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**$ messages** : 24 **$ en Colombie depuis** : 15/04/2012

Bienvenue =D

**$ ton age** : 31 **$ messages** : 95 **$ en Colombie depuis** : 08/05/2012

Blondie chou; ANDREA ℘ Si je ne disais rien, les gens supposaient toujours le pire... Heureusement je parle beaucoup. 2982522762

merci Naomi. ANDREA ℘ Si je ne disais rien, les gens supposaient toujours le pire... Heureusement je parle beaucoup. 1231878489

**$ messages** : 112 **$ en Colombie depuis** : 05/05/2012

Et maintenant validons

So je te valide, j'adore, en revanche attention chérie aux relectures XD ! N'oublie pas d'aller recenser ta célébrité ICI, ça serait dommage qu'une fois validé on te la chippe non ? Ainsi que ton compte ICI On remplit aussi son petit profil ^^ En passant recense ton logement ICI. Je t'invite également à aller faire ton sujet de liens ICI pour lier ton personnage aux autres ^^ Un ptit tour par les téléphones ICI N'hésite pas à flooder un peu pour t'intégrer, créer des liens et commencer à RP. Et évidement, pour faire connaitre notre ptit forum tu peux voter ou faire de la pub pour le fo ou ton pv ICI

Sur ce bon jeu parmi nous (a)

» Andrea ℘ Vade retro téléphone
» Allô Lola, c'est encore moi... J'ai beaucoup pensé à toi - Fuck you, bastards.
» BOBBY - Ici si tu fais pas gaffe, tu crèves, si tu l'ouvres trop tu crèves, si tu l'ouvres pas assez, tu crèves. Moi j'ai toujours mon gun sur moi, sait on jamais qu'on veuille me crever..
» JAVIER - Tout dans mes poches, rien dans les votres. Moi c'est simple, jte fournis tout, la drogue, les putes, le café, les tampons, mais pas plus hein, enfin sauf si tu payes..

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